Nos médias sont muselés pour nous informer des 4 dangers: A) les huiles hydrogénées B) les huiles vierges non bio C) les huiles peroxydées D) les huiles avec antioxydants artificiels.
A) Qu’en est-il des huiles hydrogénées, avérées cancérigènes, et ses acides gras trans? Pour « mal-informer » d’avantage, on met l’huile de palme à coté, en tant qu'huile suspecte alors qu'elle est l'alternative. Les acides gras trans formés avec l'hydrogénation se cumulent dans notre organisme et sont cancérigènes (Univ. Harvard, début des années 90). Pourquoi la presse et les donneurs de leçons ne parlent pas des huiles hydrogénées, autorisés dans les aliments non-bio? En France, la première huile de friture, est hydrogénée: le saviez-vous? (marque Végétaline)
B) Les huiles vierges non bio sont très dangereuses. Ils peuvent être surchargées en résidus d’insecticides, fongicides, engrais chimiques et autres traitements dits 'phytosanitaires'. 3ème huile la plus consommée en France (derrière le tournesol et le colza) l’huile d’olive vierge extra non bio, se vend à un rythme de 120 millions de litres/an. On entend parler des risques pour la santé ou pour l’environnement? Pourtant elle se produit en France et dans des pays voisins. Qui étouffe ces informations?
C) Les huiles oxydées, riches en radicaux libres: les directives en France et en Europe, n’obligent pas à indiquer la date de fabrication des huiles sur les emballages!. Quel est alors l’intérêt de la date DLUO sur les bouteilles/pains/barquettes? Elle est calculée par rapport à la date de conditionnement des huiles... impossible à connaître l'age de votre huile en France.
D) Pour tout produit alimentaire transformé par l'industrie, l’utilisation d’huiles « enrichies » en additifs -conservateurs, antioxydants, anti-moussants ou autres est autorisé, mais ces additifs ne sont pas mentionnés dans la liste d’ingrédients du produit ! Si un industriel souhaite utiliser des additifs artificiels ou de synthèse pour ses produits et ne pas les mentionner dans la liste d’ingrédients, il le fait via ses huiles. Ces substances de synthèse sont cumulables dans nos organismes, et cancérigènes à certaines doses.
A savoir : en bio env. 400 additifs alimentaires (d’origine naturel seulement) sont autorisés, contre env. 4400 en non-bio. Les antioxydants des huiles les plus puissants et donc les plus utilisés en France, gallates-BHA-BHT, sont interdits en bio et autorisés/très utilisés en non-bio. Voilà comment on consomme colza et tournesol pour les fritures industrielles, les huiles censées substituer l'huile de palme.
Voici les 3 listes d’additifs antioxydants lipidiques que vous consommez sans pouvoir le savoir:
1) non autorisés en non-bio dans l'Union Européenne et Suisse (mais autorisés aux USA): TBHQ (tert-butyl-hydroquinone).
2) autorisés en non-bio -mais interdits en bio-, dans l'Union Européenne, non déclarés dans la liste d’ingrédients, via les huiles « enrichies » en conservateurs-antioxydants:
Code – Nom
E-301: Ascorbate de sodium
E-302: Ascorbate de calcium
E-303: Diacétate d'ascorbyle
E-304: Palmitate d'ascorbyle
E-306/308/309: Tocophérols (imitation et synthétiques)
E-311: Gallate d'octyle
E-312: Gallate de dodéctyle
E-320: BHA Butylhydroxyanisol (le plus utilisé, couplé avec le BHT)
E-321: BHT Butylhydroxytoluol
E-472: Sels de sodium potasium et calcium des ac. Gras: 4 types d'esters
Les plus courrament utilisés en France, sont les gallates (amènent des problèmes cutanés, entre autres) et BHA - BHT (qui perturbent n/métabolisme, et font monter le cholestérol).
3) autorisés dans les huiles bio (seulement 2 substances, naturelles)
E-307: Tocophérols d'origine naturel (Vitamine E)
E-392: Extraits naturels de romarin (Acide carnosique)
Ces 2 substances autorisées en bio, ne sont pas du tout nécessaires pour l'huile de palme, l'huile végétale la plus riche en antioxydants!
